Publié le 23 Jul 2021 à 06:45, par Sharon Wajsbrot - Les Echos
L'électricien a proposé à l'ASN de renforcer les raccordements défectueux identifiés sur le circuit de refroidissement de l'EPR de Flamanville. Ce procédé « n'a pas de précédent dans le nucléaire », mais il est le seul qui permettrait de démarrer, comme prévu, ce réacteur fin 2022.
Cette solution présente l'avantage d'être la plus rapide à mettre en oeuvre, et c'est la seule qui permettrait à EDF de tenir le calendrier qu'il s'est fixé. (Lou BENOIST/AFP)
Comment tenir le calendrier annoncé pour démarrer l'EPR de Flamanville en dépit des nouveaux défauts pointés par le gendarme du nucléaire ces derniers mois ? EDF semble avoir trouvé la parade.
Selon nos informations, l'énergéticien a proposé à l'Autorité de sûreté nucléaire une solution pour corriger les « écarts de conception » identifiés sur trois raccordements (dits « piquages ») du circuit primaire de refroidissement de son réacteur normand.
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